Catégories : Femmes fessées Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 11 mois
Le pensionnat comptait environ 80 élèves. La règle dans la maison était de châtier les écolières indisciplinées, par la fessée manuelle, ou par le martinet, quelquefois par les deux. Les verges ne servaient que rarement, pour les délits graves et les fautes, nécessitant une correction très sévère.
Ce qu’il est tenu au secret, c’est ce qu’il se passe dans le cabinet de la directrice, toujours accompagnée de ses deux surveillantes aussi perverses que la directrice. Initialement, ces deux sous-maîtresses sont là pour aider en cas de résistance des élèves punies, puis pour témoigner que les punitions sont respectueuses des nobles traditions scolaires.
L’une a tout juste 23 ans et promet de grands plaisirs à qui saura dompter, la tigresse dont le corps à peine potelé est si bien dessiné. Avec une poitrine généreuse, dont la vallée large et profonde attire le regard, lorsqu’elle plonge ses yeux noir dans ceux des élèves, elle ne génère pas que la peur mais plutôt une sorte de crainte excitante. L’autre bien plus grande et moins dotée par la nature au niveau de la poitrine, se décrit plutôt en partant du bas. Ses jambes et cuisses fines sont surlignées par un joufflu aux formes bien rondes, dépassant plus par l’arrière que sur les côtés. Un véritable appel à la caresse ou à la fessée.
La directrice quant à elle, a tout d’une grande bourgeoise aussi épanouie que sévère. A 40 ans, son corps fluide parfaitement conservée ferait se damner un saint, comblerait un mari si elle en voulait un. En effet, ses attirances ne portent pas vers la gente masculine, elle y préfère et de loin, celui des femmes sans poil de barbe et bien plus agréables pour les effusions charnelles.
Si à elle seules ces trois femmes parviennent sans souci à faire régner une discipline de fer, lorsqu’elles se retrouvent seules après une punition, elles sont tout sauf sages dirait le curé s’il le savait.
Manon a été convoquée suite à une bagarre avec une élève. Bien plus grande et costaude, elle l’a bien arrangée. La pauvre fille avec un gros cocard virant au noir, puis des bleus de partout et en a pour quelques jours à se remettre.
Si la fautive n’est pas rassurée, elle n’en montre rien lorsqu’elle entre dans le cabinet. Sûre d’elle, à la limite prétentieuse, au lieu de faire profil bas, Manon cherche à se justifier avec fougue et surtout des mots très vulgaires, pour qualifier l’attitude de la victime.
Les deux sous-maîtresses rient sous cape en l’écoutant et en regardant la directrice impassible. « Parle fort petite effrontée, dans un moment tu crieras » se disent-elles en s’excitant par avance.
Après s’être faite réprimandée, lorsque la sentence tombe, Manon perd de sa superbe. Elle va être fessée comme une gamine et fouettée comme une jeune femme en mal d’éducation. Lorsque la directrice prend place sur la banquette située devant son bureau puis lui désigne ses genoux, l’espiègle hésite à s’enfuir en courant à toutes jambes. Les deux sous-maîtresses lui barrant le chemin conduisant à la porte, elle décide de se la jouer « fière » et de s’installer presque brutalement sur les genoux de la directrice amusée.
La jupe de l’uniforme est prestement troussée exposant un joufflu aux rondeurs juvéniles, encore couvertes par la culotte en coton règlementaire. Bien décidée à ne pas réagir pour montrer son indifférence, elle s’étonne qu’il ne se passe rien. Et pour cause, elle ne peut avoir connaissance de ce qu’il se trame.
Les deux sous-maîtresses s’animent soudain. L’un va chercher un petit coffre qu’elle pose sur le bureau à portée de main de la directrice, l’autre place des coussins sous les jambes de l’infortunée. A la suite de quoi, elles enjambes les dites jambes en posant leurs genoux sur les coussins, non sans avoir au préalable soulevé leurs jupes.
Ainsi placées, elles ne vont pas que maintenir les jambes de la punie. Lorsque les claques deviendront douloureuses, elle vont profiter de leurs agitations pour avancer leur tendre intimité et se faire caresser le minou, que nul poil disgracieux ne cachera dans un moment. Manon ne peut évidement pas savoir qu’elle va branler les mégères, l’obligeant à rester allongée sur les genoux de la directrice.
Pendant la première partie de la fessée, par fierté, elle ne bouge pas d’un poil, ne geint pas, ne se débat pas. Les dents serrées, elle est fermement décidée à ne rien laisser paraître de sa honte ni de sa douleur. C’est lorsque la directrice attrape le rempart de coton qu’elle s’émeut, puis tente de retenir sa culotte d’une main.
Avant même qu’elle ne l’atteigne, la directrice lui saisit le bras qu’elle retourne fermement dans son dos pendant que les deux sous-maîtresses, la lui baisse jusqu’au genoux mettant au jour les jolis globes charnus encadrant l’étroite fenêtre, d’où émerge une touffe de poils bruns masquant en partie, l’entrée du paradis des filles.
Lorsque la directrice commence à appliquer sur le coin de chair nue des claques retentissantes, en froissant et rougissant le blanc satin à peine rosi, l’écolière, qui jusque-là n’avait bougé ni pied ni jambe, se tord sous la fessée. En gesticulant et en essayant de lever les jambes, ses mollets buttent sur la tendre intimité des deux sous-maîtresses ravies. Manon n’a pas conscience de contre quoi ses jambes buttent réellement et ne cherche pas à le savoir. La douleur de son fessier subissant une volée de claques bien appuyées, occupe pleinement ses pensées.
Bien décidé à ne pas crier, Manon serre les dents et plisse les yeux comme si cela pouvait changer quelque chose à sa douleur. Au moment où la directrice s’arrête pour ouvrir le petit coffre posé sur son bureau, l’effrontée s’imagine que la fessée est terminée. Si elle a eu mal, si elle est blessée mentalement, sa fierté de rebelle n’est en rien égratignée, puisqu’elle n’a pas crié ni pleuré.
Manon ne se doute pas un instant de ce qu’il va lui arriver, quand la directrice montre un paddle en chêne à ses complices. Au premier coup, elle se tend comme un arc. Si aucun son n’est sorti de sa bouche ce n’est pas par fierté non, c’est parce qu’elle a eu le souffle coupé.
Les coups de paddle tombent plus forts. Ils sont espacés et résonnent avec un bruit sec et sinistre. Le petit cul se démène sous les atteintes piquantes, les petites fesses deviennent rouges sur toute leur surface. Manon se trémoussent et hurle d’une façon pitoyable, comme si cela pouvait changer quelque chose.
La directrice semble s’animer considérablement avec cette mélodie là très agréables à ses oreilles, tout comme ce jeune corps s’agitant à présent sur ses genoux. Lorsque les fesses de l’agitée menacent de s’ouvrir, elle claque à présent les cuisses mais avec moins de puissance. Les deux sous-maîtresses sont aux anges, les jambes s’agitent entre leurs cuisses à grande vitesse et risquent même de les conduire au plaisir.
D’un hochement de tête de la directrice, les deux sous-maîtresses s’écartent toute en maintenant bien les jambes de l’effrontée afin de rendre accessible le minou poilu. Après avoir posé le paddle, la main punitive conclue la fessée par une grande série de claques sur le chaton et à l’intérieur des cuisses. Un hurlement de douleur prolongé, couvre grandement les gémissements des deux sous-maîtresse,s en proie à des contractions fortes agréables.
La fessée prend fin, Manon en proie aux larmes et reniflements disgracieux est avachie sur les genoux de la directrice. Elle peine à se lever et si les deux sous-maîtresses ne l’aidaient pas, elle s’écroulerait à même le sol. Le comble est qu’elles l’aident même à remonter sa culotte. Raccompagnée à la porte, elle est presque propulsée dehors où, elle constate que même le coton peut être brûlant sur la peau des fesses. Après une pause appuyée contre un mur, elle se reprend et s’enfuie pour aller se cacher dans les WC.
La porte du cabinet de la directrice verrouillée, les deux sous-maîtresses rejoignent prestement la directrice dans l’antichambre pour un broute minou effréné et des fusions tactiles.
Fin (--> probable mais si l’idée d’une suite vous séduit, cela peut évoluer)
TSM
Cette histoire est le fruit de mon imagination ! Elle est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
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Je suis contente d'avoir été à l'école publique moi. Je n'ai grâce à elle aucun vrai boulot, mais mon cul est resté intact ! LOL ! | |
Que voilà un pensionnat où on ne plaisante pas avec la discipline pour le plus grand plaisir de celles qui la font régner. |
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